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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1751 : Désolé, tu ne peux pas entrer
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Les yeux sombres de Qiao Nian avaient balayé l’e-mail de Zhong Yiliu. Son regard s’était assombri, mais elle n’avait rien dit et avait fermé le courriel.

Puis elle était allée jeter un coup d’œil sur Internet.

La popularité de son message sur Weibo ne cessait de croître. À l’origine, ce n’était pas grand-chose, mais comme beaucoup de gens s’intéressaient à ce drame, la popularité avait augmenté.

Il y avait plusieurs sujets en vogue à ce sujet dans la liste des tendances.

Qiao Nian avait plissé les yeux. Peu intéressée par les commentaires de suivi et les messages privés dans lesquels elle était taguée, elle s’était déconnectée après avoir grossièrement lu l’opinion publique sur Weibo.

À ce moment-là, elle avait reçu une demande d’appel vidéo WeChat en provenance du Continent indépendant.

Qiao Nian baissa les yeux et fixa la photo de profil d’une certaine personne qui s’afficha sur son téléphone. Elle s’était pressé les tempes et avait frotté ses yeux secs. Ensuite, elle avait pris l’écouteur sur la table, l’avait enfoncé dans sa cochlée, avait ajusté son téléphone sur la table et avait accepté l’appel vidéo.

* * *

D’un autre côté, à l’entrée des appartements Rhine.

Un garde en uniforme formel dit solennellement : « Je suis désolé, vous ne pouvez pas entrer si vous n’habitez pas ici. »

Jiang Xianrou s’était précipitée sur l’impulsion. En ce moment, elle se tenait à l’entrée du Rhine et regardait les voitures et les gens qui entraient et sortaient. Son visage était brûlant et embarrassé.

Elle serra fort son sac et prit une grande inspiration, puis elle regarda le garde et dit très gentiment : « Une parente à moi habite ici. Je suis venue la chercher. »

Alors qu’il venait de laisser passer une voiture avec une plaque d’immatriculation pékinoise, le gardien s’était retourné et avait pris le temps de la jauger, comme s’il ne croyait pas qu’elle avait de la famille qui vivait là.

Après tout, les appartements Rhine n’étaient pas un endroit ordinaire.

Ceux qui pouvaient y vivre n’étaient pas des gens ordinaires.

Cependant, elle était bien habillée et n’avait pas l’air d’être le genre de personne qui voulait profiter de l’occasion pour se faufiler.

Après l’avoir jaugée, le garde rétracta son regard et dit d’un air sérieux : « Alors appelle ta parente et demande-lui de venir te chercher ou appelle le bureau du garde. Je te laisserai alors entrer. Sinon, tu ne pourras toujours pas entrer. »

La famille Jiang jouissait d’une bonne réputation à Pékin.

En tant que l’une des femmes les plus remarquables de la capitale, Jiang Xianrou n’avait jamais subi une telle humiliation.

Mais elle savait exactement quel genre d’endroit était le Rhine.

Même si la famille Jiang avait une réputation et un statut dans la capitale, elle n’était rien dans un endroit comme le Rhine.

Bien que tout le sang de son corps se soit précipité vers son cerveau et qu’elle était tellement en colère qu’elle voulait parler à Qiao Nian immédiatement, elle n’osa pas faire irruption.

Le garde l’avait ignorée après lui avoir dit d’appeler son parent pour qu’il la laisse entrer.

Le visage de Jiang Xianrou était devenu froid. Elle se dirigea sur le côté et ouvrit son sac, sortit son téléphone, trouva le numéro de Qiao Nian et le composa.

Le résultat était évident.

Qiao Nian l’avait inscrite sur sa liste noire depuis longtemps.

Elle n’arrivait pas du tout à le joindre.

Les tempes bombées, elle prit une grande inspiration et se dirigea vers le bureau du gardien pour lui emprunter son téléphone. « Je suis désolée, mon téléphone est hors service. Je peux vous emprunter votre téléphone ? Je lui demanderai de descendre me chercher. »

Le garde ne s’attendait pas à cela car il avait vu qu’elle était habillée avec des vêtements de marque. Il l’avait regardée de la tête aux pieds et avait dit au bout d’un long moment : « Attends un moment. »

Jiang Xianrou souhaitait trouver un trou pour se cacher. Cependant, elle ne pouvait que rester droite sur place, le visage engourdi, et faire semblant de ne pas voir le dédain dans les yeux du garde.

Heureusement, le garde lui tendit rapidement un téléphone noir démodé. « Dépêche-toi de l’appeler. Demande à ton parent de venir te chercher. »



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