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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1836 : C’est sa petite amie officielle !
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

À l’hôpital.

Ye Wangchuan avait accompagné le vieux maître Ye pour rendre visite au vieux maître Jiang et à Jiang Zongnan, tous deux malades. Ils étaient d’abord allés au troisième étage pour voir Jiang Zongnan avant d’aller voir le vieux maître Jiang.

Le vieux maître Ye, Ye Lan et les autres étaient tombés sur Qiao Nian lorsqu’ils étaient sortis.

« Niao Nian, tu es là toi aussi ? » Ye Maoshan était ravi de voir Qiao Nian. Il était évident qu’il l’aimait bien. Il l’avait saluée joyeusement.

Outre Ye Maoshan et Ye Lan, de nombreuses personnes des branches latérales de la famille Ye étaient également venues. Ils leur avaient donné suffisamment de visibilité.

Ye Shan et Ye Keji se trouvaient également dans la foule.

Quelqu’un murmura doucement : « C’est la petite amie de Ye Wangchuan ? La petite fille n’est pas mal du tout. J’ai entendu dire qu’elle était de la famille Jiang. On l’a retrouvée il n’y a pas longtemps à la ville de Rao. »

« Hmph. » Ye Shan avait reniflé avec mécontentement et avait voulu dire quelque chose.

Cependant, elle n’eut d’autre choix que de ravaler ces paroles aigres en pensant à la perte qu’elle avait subie il y a quelques jours. Ses yeux étaient remplis de mauvaise volonté alors qu’elle regardait la fille qui parlait au vieux maître Ye et aux autres.

« Ce n’est qu’une paysanne « Ye Shan ne put retenir son ressentiment et son mécontentement et marmonna à voix basse.

À côté d’elle, Ye Keji l’avait entendu.

Ye Keji tenait un thermos à la main et avait l’air d’un homme d’âge moyen ordinaire et doux.

À cet instant, son sourire s’effaça légèrement, il lui jeta un coup d’œil et dit d’un ton d’avertissement : « Arrête de parler. As-tu oublié la perte que tu as subie il y a quelques jours ? Fais attention à ce que Wangchuan ne t’entende pas. Tu vas souffrir. »

Les veines du front de Ye Shan s’étaient gonflées d’indignation tandis qu’elle perdait la face. « Quoi qu’il en soit, je suis toujours son aînée. Il m’a mis dans l’embarras pour une étrangère »

« C’est sa petite amie officielle, mais à tes yeux, c’est une étrangère ». Ye Keji lui avait rappelé en raison de leur relation en tant que parents. « Il n’y a pas de mal à en dire moins. Wangchuan n’est pas aussi simple qu’il en a l’air en apparence. Il protège aussi les siens. Pourquoi n’essaies-tu pas de demander à nouveau des ennuis ? J’ai bien peur que votre petite relation de parenté ne suffise pas. »

Puis, il haussa les sourcils et fit la moue en direction du Vieux Maître Ye. « Tu n’as pas vu l’attitude du vieux maître Ye ? Les parents des deux parties ont déjà donné leur accord. En tant que parent, tu peux juste rester ici et observer. Ne t’implique pas. »

Ye Shan avait également regardé dans la direction du vieux maître Ye.

Ye Maoshan et Ye Lan discutaient très familièrement avec la jeune fille. De toute évidence, ils avaient une bonne relation en privé.

Elle resserra à nouveau sa prise, se sentant extrêmement indignée.

Qiao Nian n’était manifestement qu’une simple campagnarde. Elle ne savait pas quel genre de potion ensorcelante elle avait donné au vieux maître, mais personne dans la famille ne s’y opposait.

Les habitants de Pékin se moqueraient d’eux à l’avenir s’ils laissaient une paysanne entrer dans la famille !

Bien que Ye Shan soit en colère, elle venait d’être giflée par Ye Wangchuan il n’y avait pas longtemps et son autorité lui avait été retirée. Elle ne pouvait que rentrer sa queue entre ses jambes et n’osait plus rien dire en public.

Qiao Nian bavarda brièvement avec Ye Lan et les autres avant d’aller rendre visite au vieux maître Jiang.

Seul l’homme qui était encore adossé au couloir était resté derrière.

Aujourd’hui, Ye Wangchuan portait un mince pull noir à col roulé et un long coupe-vent gris. Le coupe-vent arrivait à un centimètre au-dessus de ses genoux, soulignant la grande silhouette de l’homme. Sa taille étroite et ses longues jambes attiraient tous les regards.

Qiao Nian l’avait vu dès qu’elle était sortie de la salle. Elle s’était arrêtée un instant, puis avait doucement fermé la porte et s’était dirigée vers lui.



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