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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1548 : Ce qui doit arriver arrivera
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Cette fois-ci, elle en avait mis plein la vue.

Les invités commencèrent à arriver à onze heures.

Ruan Sisi et quelques-uns de ses amis proches étaient arrivés tôt.

Tang Ning n’était pas venu.

Cependant, Jiang Xianrou regardait de haut le menu fretin qu’était Tang Ning. À ses yeux, elle ne regardait que ceux qui faisaient partie des cercles supérieurs de Pékin. Les autres cercles étaient devenus insignifiants à ses yeux.

Elle ne se souciait même plus de Ruan Sisi, et encore moins de Tang Ning. La famille Tang n’avait plus aucune valeur à ses yeux.

Jiang Xianrou conduisit le groupe à l’intérieur et leur réserva un siège à l’arrière. Après avoir échangé quelques plaisanteries avec eux, elle sortit pour saluer les autres invités.

La réputation de l’Association de pharmacie n’était plus à faire.

De nombreuses familles importantes de Pékin avaient plus ou moins donné à Jiang Xianrou un visage sur le compte de l’Association de Pharmacie.

Aucun membre de la famille Wei n’était venu au banquet de filiation de Jiang Xianrou, mais cette fois-ci, Wei Ying était venue spécialement pour l’accueillir.

Wei Ling et Shen Jingyan étaient également venues.

Depuis la mort du vieux maître Wei, l’élan de la famille Wei s’était progressivement affaibli. Cependant, Wei Mingxuan était tout à fait capable. Après cette période de travail acharné, la famille Wei s’était progressivement calmée de la tempête causée par la mort soudaine du vieux maître Wei.

Wei Ying était écartée du cercle familial. Cependant, Wei Mingxuan était une personne au cœur tendre. Wei Ying étant sa seule sœur biologique, il n’était pas allé trop loin.

Au moins, il lui avait donné un peu de visibilité.

Même si le statut de Wei Ying dans la famille n’était plus aussi élevé qu’auparavant, la famille Wei était toujours l’une des trois familles les plus dominatrices de Pékin.

Un chameau maigre est toujours plus grand qu’un cheval.

En prenant le temps d’assister au banquet de bienvenue d’une jeune fille, elle donnait à Jiang Xianrou une bonne image d’elle.

Jiang Xianrou était également raisonnable. Elle accompagna personnellement sa mère pour accueillir Wei Ying, Wei Ling et les autres. Elle leur tendit le bras de loin et les salua chaleureusement : « Grand-mère Wei, tante Wei, oncle Shen. »

« Aiya, regarde comme sa bouche est douce. Elle est si adorable. » Wei Ying portait un cheongsam vert modifié aujourd’hui. Un collier de perles émeraude assorti lui entourait le cou. À première vue, elle était élégante.

Malheureusement, son visage n’avait pas de chair. En y regardant de plus près, ses yeux étaient féroces et ses lèvres minces. Il était évident qu’elle n’était pas une aînée douce.

Elle prit une expression affectueuse devant Jiang Xianrou et lui tint la main, puis dit doucement : « Xianrou a grandi. Je me souviens que la dernière fois que je t’ai vue, tu venais d’entrer à l’université de Qing. En un clin d’œil, tu es entrée à l’Ordre des pharmaciens. »

Elle pencha à nouveau la tête et dit gentiment à Tang Wanru : « Madame Jiang, tu as élevé une bonne fille ! »

La dernière fois que Wei Ying avait vu Jiang Xianrou, c’était l’année où la famille Jiang lui avait offert sa cérémonie de passage à l’âge adulte.

Cette année-là, la famille Jiang avait organisé une grande scène pour Jiang Xianrou et invité de nombreuses personnes célèbres à y participer.

De nombreuses personnes étaient présentes grâce à l’invitation personnelle du vieux maître Jiang.

Wei Ying était l’une d’entre elles.

Tang Wanru ne put s’empêcher de sourire en entendant ses louanges. Elle dit même poliment : « Madame l’ancienne, ne la complimentez plus. Elle a encore beaucoup à apprendre. »

« Si elle doit encore s’améliorer malgré son entrée à l’Association de Pharmacie à son âge, les autres n’auraient-ils pas trop honte de vivre ? » Wei Ying était venue cette fois-ci à cause de l’Association de Pharmacie.

« Tu as beaucoup de chance de pouvoir entrer à l’Ordre des Pharmaciens cette fois-ci. » Puisqu’il s’agissait d’un compliment, elle la féliciterait certainement jusqu’au bout. De toute façon, elle ne perdait rien à la complimenter.



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