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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1463 : Xianrou, as-tu fait tes valises ?
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Jiang Yao avait grandi en entendant sa mère dire : « Jiang Li est décevant. N’apprends rien de lui. »

C’était la première fois qu’il entendait quelqu’un dire qu’il était inférieur à Jiang Li.

Jiang Yao ne pouvait décrire ses sentiments complexes. Il réprima ses sourcils et dit : « Jeune Maître Xu, aide-moi à saluer le Vieux Maître Su et demande-lui de prendre soin de lui. »

« Oui, je parlerai à mon grand-père. » Xu Jishen avait encore quelque chose à dire, mais il pouvait voir à l’autre bout du fil que Jiang Yao n’était pas disposé à l’écouter.

Sa propre maison était en désordre, et il ne voulait pas se mêler des affaires des autres. De plus, ils n’aimaient pas l’entendre, et il ne pouvait pas s’embêter à être une bonne personne pour rien, alors il s’arrêta de parler. « L’infirmière m’a appelé. Je raccroche. »

« D’accord. » Jiang Yao était très poli. « Au revoir. »

« Au revoir. »

Xu Jishen raccrocha. Il avait l’air très occupé.

Jiang Yao entendit la tonalité occupée à l’autre bout du fil. Il posa lentement le téléphone et baissa les yeux. Il se souvint que Xu Jishen lui avait demandé de chercher Qiao Nian. Il sentit venir un mal de tête.

Jiang Yao retournait au salon avec son téléphone lorsqu’il leva les yeux et vit Jiang Xianrou descendre.

« Frère, bonjour. » Jiang Xianrou portait une longue robe jaune. Ses cheveux étaient attachés en une queue de cheval exquise, et son visage ovale était clair et lustré.

Elle souriait et avait l’air gentille et raisonnable en le saluant.

Le cœur anxieux de Jiang Yao semblait avoir reçu une injection de fraîcheur. Il n’était plus aussi mal à l’aise.

Il entra dans le salon, posa son téléphone sur la table et fit un signe de tête à la fille qui descendait les escaliers. « Oui, tu es debout ? »

« Je viens de me réveiller. J’ai entendu quelqu’un parler en bas, alors je suis descendue jeter un coup d’œil. » Jiang Xianrou descendit en titubant, se dirigea vers le réfrigérateur, l’ouvrit et en sortit une bouteille de lait.

Elle l’ouvrit et en prit une gorgée avec grâce. Elle regarda ensuite Jiang Yao et vit qu’il fronçait les sourcils comme si quelque chose le tracassait.

Elle s’approcha à nouveau et demanda avec inquiétude : « Frère, avec qui parlais-tu ? »

Jiang Yao n’eut pas le temps de lui répondre.

Jiang Xianrou baissa à nouveau les cils et demanda d’un ton très pudique : « Le jeune maître Xu ? »

Ils avaient une bonne relation depuis leur plus jeune âge. Jiang Yao ne lui cachait rien.

Puisque Jiang Xianrou lui avait demandé, il s’assit sur le sofa et acquiesça. « Oui, je n’ai pas réussi à le joindre hier, alors je l’ai rappelé ce matin. »

« Est-ce que j’ai parlé trop fort et que je t’ai réveillé ? » Son beau visage cultivé s’excusa.

« Non, c’est l’alarme qui m’a réveillée ce matin. » Jiang Xianrou secoua la tête et le regarda de ses beaux yeux. Elle hésita et demanda : « Frère, l’affaire avec Tian Chen ne s’est pas bien passée ? »

Elle vit Jiang Yao se tenir le front avec sa main plusieurs fois. Il semblait avoir mal à la tête et était pâle.

Elle devina que Xu Jishen ne voulait pas l’aider.

Le beau visage de Jiang Yao était enveloppé d’une légère expression sinistre. Il ne lui dit pas grand-chose. « Ne t’inquiète pas. Je vais m’occuper de cette affaire. »

Jiang Xianrou comprit à son ton que les choses n’étaient pas aussi simples qu’elle l’avait imaginé.

Elle ouvrit la bouche pour mentionner Qiao Nian, mais Jiang Zongnan et Tang Wanru sortirent de leur chambre à ce moment-là.

Jiang Zongnan avait déjà enfilé un costume. Tang Wanru portait encore son pyjama et attachait sa cravate. En voyant Jiang Xianrou dans le salon, ses yeux étaient remplis de joie. « Xianrou, as-tu préparé tes affaires ? »

Jiang Xianrou sourit implicitement. « J’ai fait un simple emballage hier soir et je n’ai emballé que les nécessités quotidiennes. Je n’ai pas encore eu le temps de préparer mes vêtements. »



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