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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1409 : L’attendre à la porte
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Chen Chen ! »

Les expressions de Fu Ge et de Shen Qiongzhi changèrent et ils se précipitèrent.

Cette Qiao Chen !

Madame Fu était tellement en colère que le bout de ses doigts tremblait. Sa fête d’anniversaire était gâchée.

L’ascenseur atteignit le 16e étage et s’arrêta automatiquement pour ouvrir les portes.

Qiao Nian sortit tranquillement de l’ascenseur, portant toujours le thermos qu’elle avait ramené de chez tante Chen.

La lumière du couloir était légèrement chaude, jetant une faible lueur orangée.

Qiao Nian marcha le long du couloir recouvert de moquette. Avant d’atteindre la chambre 1606, elle vit l’homme appuyé contre sa porte.

Elle s’arrêta net.

Ye Wangchuan entendit des pas et leva les yeux. En voyant Qiao Nian, ses yeux semblaient remplis de milliers d’étoiles. Il dit d’une voix douce : « Nian Nian. »

Cette fois, Qiao Nian s’arrêta net et eut l’impression que son cœur avait été poignardé. Une émotion inexplicable monta dans son cœur.

Ye Wangchuan s’approcha et lui prit le thermos comme si c’était naturel. Il sourit et demanda à voix basse en voyant le thermos d’argent : « Tante Chen t’a fait de la soupe ? »

Qiao Nian avait déjà repris ses esprits. Voyant qu’il examinait le thermos, elle répondit en s’avançant : « Elle s’inquiétait que je ne puisse pas bien manger à l’hôtel. Avant que je ne parte, elle a insisté pour me remplir une portion de soupe de côtes de porc à boire avant d’aller me coucher ce soir. »

Au départ, elle ne voulait pas se donner tant de mal, mais tante Chen avait insisté pour qu’elle la prenne. Elle disait que si elle buvait plus de soupe d’os, sa main blessée se rétablirait plus vite.

Ye Wangchuan la suivit avec désinvolture. Voyant que la fille avait trouvé la carte de la chambre et ouvert la porte, il la suivit à l’intérieur et sourit doucement. « Tante Chen s’inquiète aussi pour toi. »

Qiao Nian jeta la carte de la chambre sur la table du cabinet après être entrée. Elle n’avait rien dit et avait appuyé sur le bouton. « Je sais. »

Elle avait fini par ramener le thermos à l’hôtel.

Qiao Nian était également logée dans une suite. La chambre était spacieuse et bien éclairée. Dans l’ensemble, on s’y sentait bien.

Elle se dirigea ensuite vers le réfrigérateur, l’ouvrit, en sortit une bouteille d’eau minérale et la lui tendit. Elle prit ensuite une bouteille d’eau pour elle, jeta un coup d’œil à l’homme qui l’avait suivie et dit : « Où sont Qin Si et les autres ? Pourquoi ne les vois-je pas ? »

Ye Wangchuan posa le thermos sur la table de la salle à manger et lui prit l’eau minérale. L’eau froide réduisit la chaleur humide dans sa paume.

Il haussa légèrement les sourcils et regarda la jeune fille. « Ils sont venus te chercher en arrivant, mais ils sont sortis manger quand ils ont réalisé que tu n’étais pas là. »

« Pour manger ? » Qiao Nian n’arrivait pas à dévisser le bouchon d’une seule main et fixait l’eau minérale avec frustration. Elle ne s’était toujours pas habituée à ne pas pouvoir utiliser une seule main. « Tu n’es pas allé avec eux ? »

« Je n’ai pas faim. »

Ye Wangchuan le vit et lui arracha l’eau minérale, puis la lui rendit après avoir dévissé le bouchon.

Qiao Nian prit l’eau de sa main et dit poliment : « Merci. »

Elle pencha la tête en arrière et s’apprêta à boire une gorgée d’eau.

Ye Wangchuan demanda soudainement d’une voix basse et sexy : « Connais-tu Jian Jin ? »

« Ahem ! »

Qiao Nian s’étouffa avec une gorgée d’eau et toussa violemment.

« Bois lentement. » Ye Wangchuan avait seulement voulu lui demander, mais il ne s’attendait pas à ce qu’elle ait une si grande réaction. Son expression changea et il s’approcha immédiatement. Il lui tapota le dos pour la calmer, ses gestes étant très doux.

Qiao Nian réussit à reprendre son souffle, mais elle avait mal à la tête. Elle s’arrêta de boire, baissa la main et regarda l’homme calmement. « Pourquoi demandes-tu cela tout à coup ? »



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