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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1280 : Sœur Nian a toujours giflé son visage
Chapitre 1279 : Sœur Nian : Pourquoi devrais-je m’expliquer ? Sommes-nous familiers l’un l’autre ? Menu Chapitre 1281 : Ne me cherchez pas, je ne suis pas du genre à me laisser faire

Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Les beaux yeux noirs de la jeune fille regardaient Jiang Xianrou avec hostilité. « Tu n’as pas cessé de me demander des explications depuis le jour où je suis arrivée à Pékin. »

« Jiang Xianrou, m’as-tu expliqué l’anniversaire de l’école ? » Ses paroles étaient impatientes, ne laissant aucune chance à Jiang Xianrou.

Jiang Xianrou était restée sans voix. Elle resta plantée au sol, son beau visage ovale devenant vert et blanc. Elle se pinça la paume. « Je… »

« As-tu expliqué ce qui s’est passé sur Weibo ? »

Qiao Nian en avait depuis longtemps assez de la deuxième branche de la famille Jiang. De Tang Wanru à Jiang Xianrou en passant par Jiang Yao, qui était sortie de nulle part, elle pensait les avoir traités avec suffisamment de patience. Cependant, la réalité avait prouvé qu’une patience suffisante ne ferait qu’inciter l’autre partie à agir !

Par exemple, elle venait juste de faire un tour dans la voiture de son amie, mais ils osaient encore faire une scène à la maison et lui demander une explication.

Tsk, avait-elle l’air de quelqu’un qui aimait s’expliquer ?

Personne ne lui demandait d’explications dans le quartier illégal. Mais dans un endroit aussi petit que la famille Jiang, les gens venaient la voir tous les jours pour lui demander des explications.

D’accord, elle leur donnerait une explication. Elle voulait voir s’ils pouvaient l’accepter !

Qiao Nian ne put réprimer sa soif de sang et demanda d’une voix froide : « Et cette jeune fille sur Internet. Son nom est Zhao Ruoqi. L’as-tu déjà expliqué ? »

« Qiao Nian, ne change pas de sujet. Nous parlons de toi, pas de moi ! » Les beaux yeux de Jiang Xianrou s’assombrirent légèrement tandis que son sang lui montait à la tête. Elle n’était pas du tout préparée à ce que Qiao Nian mentionne Weibo.

La jeune fille leva la main et remit sa casquette de baseball en la regardant sans expression. « Jiang Xianrou, tu ne t’es même pas expliquée. Pourquoi es-tu si agressive et me demandes-tu de m’expliquer ? Qui es-tu ? Le dictionnaire stipule que toi, Jiang Xianrou, tu n’as pas besoin de t’expliquer, mais que les autres doivent tourner autour de toi ? C’est à quelle page ? Je vais aller la lire. »

C’était une véritable gifle !

Le bout des doigts de Jiang Xianrou tremblait. On ne savait pas si elle était en colère ou embarrassée. Son visage ovale était rouge de colère, mais elle ne pouvait pas dire un mot.

Jiang Yao regarda sa sœur et sentit venir un mal de tête. Cependant, il ne pouvait pas lever la tête à cause des paroles de Qiao Nian. Son beau visage révélait un mal de tête. Il dit d’abord à Qiao Nian : « Qiao Nian, Xianrou fait cela pour ton bien. »

Il pensait que s’il jouait les médiateurs, Qiao Nian lui donnerait un peu de visibilité.

De façon inattendue, les yeux de la jeune fille étaient froids. Elle leva le menton et le regarda. Sa voix était froide. « Alors tu penses que tant que c’est ‘pour mon propre bien’, tu peux te tenir sur la hauteur morale et guider la vie de tout le monde ? »

Jiang Yao resta sans voix.

La jeune fille ne prit même pas la peine de le regarder. « Pas besoin », dit-elle. « Je n’ai pas besoin de quelqu’un qui dise que c’est pour mon bien. »

C’est à ce moment que Jiang Zongjin lui tendit l’orange pelée avec des yeux doux. Craignant qu’elle ne se mette en colère, il changea de sujet et dit doucement : « Nian Nian, mange une orange. »

Pendant un instant, Qiao Nian ne put retenir la froideur meurtrière qui l’entourait. Heureusement, on lui tendit une orange ronde. Elle fixa l’orange pelée et ferma les yeux, réprimant l’intention meurtrière qui s’y trouvait. Le visage froid, elle tendit son poignet clair et prit l’orange des mains du père Jiang. Elle se pinça les lèvres et s’arrêta de parler.

Elle ne parlait pas, mais Jiang Yao ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passé. Après avoir hésité plusieurs fois, il se tourna vers Jiang Xianrou et lui dit : « Xianrou, excuse-toi d’abord auprès de Qiao Nian. »

Jiang Xianrou soupçonna qu’elle avait mal entendu. « Frère, de quoi parles-tu ?! »



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