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Traductrice : Moonkissed
Auteur : Gu Jiaqi
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Cet homme agile semblait avoir prédit comment elle allait attaquer et, avec un tour de poignet, il tendit la main vers son coup de pied et attrapa son mollet.
Sa vitesse était si rapide ! Yun Xi tenta de tirer sa jambe instinctivement, mais il avait son mollet dans une prise serrée.
Sans autre option, elle se retourna agressivement et utilisa son autre jambe comme appui au sol. Puis elle lança un autre coup de pied vers sa poitrine.
Mu Feichi avait repéré sa position d’attaque. Avant qu’il ne puisse recevoir son coup de pied, il poussa son corps vers l’avant et utilisa son poids pour presser sur elle.
Yun Xi essaya de se lever, mais la figure qui s’approchait l’avait carrément frappée au sol.
Sa force incontrôlable avait vaincu toute sa propre force et sa capacité de riposter.
D’une main, Mu Feichi soutint son corps et diminua le poids qui était sur Yun Xi. Il regarda vers le bas Yun Xi sur le sol avec la moitié de son corps planant au-dessus d’elle.
Yun Xi était piégée dans cette position. L’homme fut amusé par sa posture maladroite et suggestive et lui tira un regard conscient. Ses regards diaboliques affichaient un sourire averti.
Elle était dans une position provocante et dangereuse !
Yun Xi fronça les sourcils. Tous ses calculs avaient été jetés par la fenêtre. Ses jambes avaient été attrapées par ses bras en position ouverte, et elle pouvait sentir où ils étaient en contact direct l’un avec l’autre. Elle se raidit, et son corps commença à brûler.
La chaleur du moment et son regard aiguisé lui firent sentir comme si elle avait été prise par un géant qui l’avait piégée dans sa toile.
Yun Xi ne savait pas quoi faire, alors elle souleva sa jambe libre et la dirigea directement sur sa partie intime.
Les yeux de Mu Feichi s’assombrirent et une lumière sourit sur ses lèvres. Dès que sa jambe vola vers lui, il attrapa son pied avec une précision de chasseur et en profita pour se rapprocher d’elle.
« Bébé, si tu me frappes là, tu n’auras peut-être aucune satisfaction pour le reste de ta vie. »
Mu Feichi inclina son corps à demi et continua à taquiner son amante d’en haut. « Cependant, dans un combat réel, il faut frapper fort et correctement, mais dans ce cas, tu pourras être un peu plus gentille avec moi. »
Il cessa de s’agripper à ses mains et se mit immédiatement à la piéger entre ses bras, une main au-dessus d’elle et une autre en dessous, ce qui ferma l’espace entre elles.
Quant aux zones où les deux étaient en contact direct, il n’avait pas ouvert d’espace entre eux.
Avec le manque d’espace entre eux, le rougissement de Yun Xi s’était répandu à ses oreilles, et ses joues rougies étaient à moins d’un pouce de ses beaux traits. Elle se sentait gênée et frustrée.
Elle grinçait des dents, elle respirait profondément et endurcissait ses nerfs pour lui rendre son regard profondément sensuel.
« Pourrions-nous parler d’autre chose, jeune commandant ? »
« Non, je pense que c’est un sujet approprié compte tenu de la distance qui nous sépare. »
Mu Feichi leva un sourcil. S’il avait déjà fait un commentaire aussi éhonté, il devait tenir jusqu’au bout.
En outre, cette pose lui avait donné l’occasion de construire une plus grande compréhension entre eux deux. Il était tout à fait en faveur.
Son plaisir grandit à la vue de ses joues rougissantes qui changeaient lentement de frustration à une légère colère. Il était le seul à pouvoir être témoin d’une expression aussi adorable de sa part. Il était ravi !
Après tout, il n’y avait rien d’inhabituel à flirter avec son amante.
« Est-ce vraiment le cas ? » demanda Yun Xi avec un sourire, ses yeux cristallins scintillant à chaque instant. Cependant, en même temps, son esprit tournait vite alors qu’elle envisageait son prochain mouvement dans cette situation.
Avec cette petite distance entre eux, Mu Feichi pouvait lire chaque pensée qui se cachait derrière ses yeux.
Il ferma la distance entre eux avec un demi-sourire en inclinant la tête avec une expression de suffisance et en posant un baiser sur sa joue. Il y avait de la chaleur dans les profondeurs de ses yeux. C’était presque comme regarder une falaise sans fin. On aurait du mal à la fixer et à regarder ailleurs.
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