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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1778 : Comment osent-ils toucher le vieux maître Jiang ?
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Elle avait regardé le médecin partir après avoir donné quelques instructions à Jiang Yao.

Elle serra les dents et se tourna vers Qiao Nian, qui n’était pas loin.

Qiao Nian parlait toujours à Jiang Li avec son calme habituel. Elle lui avait raconté en gros la recherche d’un médecin pour Jiang Zongnan.

Jiang Li était d’accord avec ce qu’elle disait.

Qiao Nian s’était occupée de trouver un médecin.

Elle était sur le point de dire à Jiang Zongjin d’aller parler, car elle voulait aussi savoir ce qui se passait exactement cette fois-ci, quand son téléphone avait soudain sonné.

C’était un appel du sanatorium de la ville de Jing.

Qiao Nian fronça les sourcils. Elle plissa les yeux et plaça le téléphone à son oreille, puis dit poliment : « Allô. »

Une cacophonie de bruits de course et le son d’une ambulance se faisaient entendre à l’autre bout du fil. C’était bruyant et animé.

Puis, quelqu’un dit à bout de souffle : « Mlle Qiao ? Le vieux maître Jiang n’en peut plus ! »

Qiao Nian avait soudain resserré sa prise sur le téléphone. Tout le monde dans le couloir pouvait entendre sa voix qui faisait froid dans le dos. « Qu’est-ce que tu dis ? »

Jiang Yao, Jiang Zongjin et Jiang Li la regardaient.

Même Qin Si et Zhang Yang, qui discutaient non loin de là, avaient regardé dans sa direction.

Cependant, Qiao Nian avait fait comme s’ils n’étaient pas là. Elle marcha sur le côté et demanda à voix basse : « Que s’est-il passé exactement ? »

Le corps du vieux maître Jiang était devenu beaucoup plus fort récemment, et ses insomnies s’étaient beaucoup améliorées.

Il n’y a pas longtemps, il lui avait joyeusement dit qu’il quitterait le sanatorium au bout d’un moment et rentrerait chez lui.

Il était en train de se rétablir. Pourquoi sa vie était-elle soudainement en danger ?

Le bout des doigts de Qiao Nian était légèrement froid, et ses yeux étaient remplis d’une tempête. C’était comme si une bête féroce était cachée dans ses yeux sombres et allait bondir dehors à tout moment.

« Que s’est-il passé ? » demanda-t-elle à nouveau.

Elle avait l’air encore plus calme maintenant.

Cependant, plus elle était calme à l’extérieur, plus ses émotions intérieures étaient turbulentes.

La personne à l’autre bout du fil trouva enfin l’occasion de lui répondre. Il balbutia : « Quelqu’un a envoyé un paquet au sanatorium ce matin. Il était indiqué que c’était celui du vieux maître Jiang. Nous avons pensé qu’il s’agissait d’un paquet standard et nous l’avons donné au vieux maître Jiang. »

« Contre toute attente, il y avait un doigt à l’intérieur. Il… disait que c’était le doigt de Mlle Jiang. Le vieux maître Jiang n’a pas supporté la stimulation et sa tension artérielle a grimpé en flèche. Puis, il s’est effondré. »

Qiao Nian avait plissé les yeux.

Trois des côtes de Jiang Zongnan avaient été brisées et il avait été jeté dans une usine abandonnée. Ensuite, quelqu’un avait livré un paquet au vieux maître Jiang. Il contenait même un des doigts de Jiang Xianrou…

Il était évident que l’autre partie voulait faire quelque chose !

Ces gens étaient trop arrogants et despotiques !

Elle n’avait jamais voulu se préoccuper des affaires de Jiang Xianrou. Jiang Xianrou était trop gourmande. Ce n’était pas trop pour elle d’être punie pour avoir causé des problèmes.

Cependant, ces gens ne devraient pas être arrogants au point de toucher le vieux maître Jiang.

Elle ne s’attendait pas à ce qu’ils soient aussi audacieux. Ils savaient clairement que le vieil homme n’était pas en bonne santé, mais ils lui ont quand même envoyé le doigt. Ils voulaient clairement la vie du vieil homme.

Ils courtisaient la mort !

Qiao Nian était sans expression, mais son aura hargneuse s’intensifiait. Ses cils s’abaissèrent légèrement pour couvrir ses yeux, et sa voix était rauque lorsqu’elle répondit : « J’arrive tout de suite. »

Ensuite, elle avait rangé son téléphone et s’était levée. Elle marqua un temps d’arrêt, puis dit aux autres : « Le sanatorium a appelé et dit que le vieil homme est inconscient. Je vais aller le voir. »



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