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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1774 : Quelqu’un sur qui même elle ne peut enquêter
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Il ne prêtait pas beaucoup d’attention aux affaires de la capitale, alors il n’avait naturellement pas entendu parler de Qiao Nian.

Il savait seulement que Ji Ziyin était venue à la capitale cette fois-ci pour une personne.

Il pensait à l’origine qu’avec ses antécédents familiaux et son statut, elle chercherait certainement des maîtres comme l’aîné Huang et le maître Cheng.

Cependant, d’après son ton, il semblait qu’elle visait une jeune personne.

« Cette Qiao Nian… » He Congming était assez curieux de savoir qui pouvait capter l’attention de Ji Ziyin à ce point, cependant, avant même qu’il ne puisse finir de parler….

« C’est une parente de Jiang Xianrou. Je voulais la chercher directement, mais elle reste généralement chez elle et sort rarement. Le quartier où elle vit est très strict, et les étrangers ne peuvent pas y entrer. C’est pourquoi j’ai demandé à Jian Xianrou d’envoyer un message pour lui demander de sortir. »

Ji Ziyin avait essayé de contacter Qiao Nian après son arrivée à Pékin. Cependant, c’était comme si son téléphone avait été installé avec un logiciel anti-harcèlement. Elle ne pouvait absolument pas appeler le numéro.

Elle avait aussi pensé à trouver quelqu’un que Qiao Nian connaissait pour lui transmettre le message, mais après y avoir réfléchi, elle avait décidé de laisser tomber.

Avec son statut, c’était déjà une grosse affaire pour elle de venir à Pékin. Son statut serait diminué si elle contactait l’autre partie par le biais d’un intermédiaire.

Par coïncidence, He Congming avait mentionné Jiang Xianrou. Elle avait également enquêté sur les relations interpersonnelles de Qiao Nian, et elle pensa donc à demander à Jiang Xianrou de dire à sa famille qu’elle voulait voir Qiao Nian.

De cette façon, elle ne perdrait pas la face.

« Quant à ce qu’elle a de spécial… » Ji Ziyin avait souri et l’avait regardé avec une paire d’yeux acérés. Elle dit d’un air indifférent : « Je veux aussi savoir ce qu’elle a de si spécial. En bref, à ce stade, cette personne est assez mystérieuse. C’est comme si elle était enveloppée dans un brouillard. Même moi, je n’arrive pas à trouver ses informations. »

Par exemple, cette fois-ci, elle n’avait jamais découvert que Qiao Nian était la vendeuse des petites pilules au marché noir.

Sans l’énorme remue-ménage sur Weibo, elle n’en aurait rien su du tout.

Après son arrivée à Pékin, les informations qu’elle avait fait vérifier par quelqu’un ne comportaient rien en rapport avec les petites pilules. On pouvait voir que ces informations étaient quelque chose que « quelqu’un d’autre » voulait lui montrer.

Elle n’avait même pas le droit de vérifier ce que les autres ne voulaient pas qu’elle voie.

Ji Ziyin était plus ou moins intéressée par elle.

Après tout, elle n’avait jamais rencontré une telle personne sur le continent indépendant.

Devait-elle se soucier de l’opinion des autres pour vérifier quelque chose ?

Elle voulait voir combien d’identités supplémentaires Qiao Nian cachait.

* * *

La famille Jiang.

« Comment cela se passe-t-il ? Qu’est-ce que la famille He a dit… » Tang Wanru avait demandé avec impatience avant même que Jiang Zongnan ne puisse poser le téléphone.

« Ils refusent de répondre au téléphone ». Jiang Zongnan savait que les choses ne seraient pas si faciles, mais il ne s’attendait pas à ce que la famille He les ignore complètement.

Jiang Yao se leva et dit à voix basse : « Je me souviens que le jeune maître Xu connaît quelqu’un de la famille He. Je vais lui demander s’il peut les contacter de notre part. »

Il n’était pas encore sorti que le téléphone de son père sonna.

« Xianrou ? »

Jiang Zongnan avait regardé l’identifiant de l’appelant avec incrédulité. Il était tellement choqué qu’il en oublia de répondre.

Heureusement, l’appel n’avait pas été raccroché aussi rapidement.

Il l’avait décroché dans les dernières secondes. « Allô ? Xianrou, où es-tu ? »

Jiang Xianrou avait soudain appelé.

Tout le monde était nerveux.

L’agitation initiale de Jiang Zongnan s’était progressivement transformée en silence, puis il avait révélé une expression difficile.

« Je comprends. Envoie-moi l’adresse », avait-il dit d’une voix grave.

Ensuite, il avait raccroché.

Tang Wanru demanda immédiatement : « C’était Xianrou ? Qu’est-ce qu’elle a dit ? Est-ce qu’elle va bien ? »



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