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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1759 : Sœur Nian : Le marteau de Thor
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Wei Lou s’assit en face d’elle et regarda la jeune fille jouer avec l’ordinateur tandis qu’il buvait une gorgée de café et s’adossait nonchalamment. Ses beaux yeux en fleur de pêcher étaient à moitié pincés tandis qu’il demandait à voix basse : « Le marteau est là ? »

Qiao Nian avait ouvert le courriel de sa main blonde et avait fini de le lire d’un coup d’œil.

Elle retroussa les lèvres et sourit paresseusement, puis lui jeta un regard et dit avec arrogance : « Ah, le marteau de Thor. »

Wei Lou était stupéfait. Il savait ce qui se passait en regardant son visage exquis et attirant les regards. Il haussa immédiatement les épaules et pleura Jiang Xianrou pendant trois secondes. « Alors, tu ne vas pas la marteler dans une fosse ? »

Qiao Nian avait depuis longtemps baissé la tête pour faire le montage.

Les yeux de la jeune femme étaient froids.

Bien qu’elle ne l’ait pas dit à voix haute, elle savait ce qu’elle faisait.

Si elle lançait ce marteau, Jiang Xianrou mourrait très probablement.

Voyant qu’elle était silencieuse, Wei Lou sourit et dit : « Oh, j’ai oublié de te le rappeler. »

« Jiang Xianrou a de nouveau publié un message sur Weibo il y a une demi-heure. Elle t’a dit publiquement de ne pas la chercher en privé si tu as quelque chose à dire. Elle t’a dit de parler sur la scène. »

La vitesse de la main de Qiao Nian était rapide. De plus, le montage n’était qu’une petite tâche pour elle.

Lorsque Wei Lou avait fini de parler, elle avait déjà effacé les informations importantes du courriel, ne laissant que la réponse de l’Agence de certification médicale.

Elle avait levé les yeux et lui avait jeté un coup d’œil du coin de l’œil. Ses longues jambes droites reposaient sous la table, et elle avait un air de bandit. « Tu es ici pour regarder le spectacle ? »

Le cœur de Wei Lou avait presque sauté un battement lorsqu’elle l’avait regardé.

Mais très vite, il s’était souvenu qu’il n’avait plus aucune chance. Son expression était légèrement amère.

Cependant, il l’avait cachée sous son numéro négligé en un clin d’œil. « Bien sûr que non ! Quel genre de personne suis-je ? Qiao Nian, tu ne me crois pas ? »

Qiao Nian haussa les sourcils. Peu importe la façon dont elle voyait les choses, il semblait être là pour regarder le spectacle.

Wei Lou se sentit mal à l’aise sous son regard acéré. Il toussa légèrement en portant son poing recroquevillé à sa bouche et dit faiblement : « Ahem, je ne regarde pas l’amusement. Je veux juste voir si elle va le regretter. »

Il avait prédit que Jiang Xianrou le regretterait certainement plus tard.

Malheureusement, il n’y avait pas de médicament pour les regrets dans ce monde.

Jiang Xianrou ne laissait aucune marge de manœuvre aux autres. En fin de compte, cela revenait à ne pas se laisser de marge de manœuvre à elle-même !

Elle ne pouvait blâmer personne pour ce qu’elle avait fait.

Il espérait que lorsqu’elle le regretterait, elle réfléchirait à ce qu’elle avait fait au début.

« C’est son affaire. Je ne m’inquiète pas. » L’attitude de Qiao Nian était froide, comme si elle ne voulait pas parler d’elle.

Wei Lou rétracta son sourire et la regarda sérieusement. « Tu lui as déjà donné une chance. Elle ne l’a pas chérie et a même tiré la faculté de médecine chinoise et l’aîné Huang vers le bas. Elle a insisté pour faire exploser les choses. Personne ne peut rien y faire. »

Qiao Nian avait déjà modifié son message. C’est juste qu’elle ne l’avait pas encore posté.

Cependant, son hésitation n’avait rien à voir avec Jiang Xianrou.

Elle pensait simplement à Jiang Li et au vieux maître Jiang.

Les paroles de Wei Lou l’avaient rappelée.

Cette fois, non seulement Jiang Xianrou s’était impliquée elle-même, mais elle avait aussi impliqué des innocents. Qiao Nian avait réfréné la froideur qui se lisait dans ses yeux. D’un léger tapotement du bout de ses doigts clairs, elle avait posté un message sur Weibo.

Quelques secondes plus tard, son téléphone s’était mis à sonner sans arrêt, plein de notifications de Weibo.

Ding, ding, ding, ding…

C’était si bruyant qu’elle en avait mal à la tête.

Qiao Nian s’était déconnectée de Weibo sans regarder aucune des notifications. Elle avait ensuite trouvé le WeChat de Jiang Li et lui avait envoyé un message.



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