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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 1317 : Qui lui a demandé d’offenser quelqu’un qu’elle n’aurait pas dû ?
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

« Ne t’empresse pas de me rejeter ».

Zhu Yuanhao n’avait pas perdu son souffle avec elle. Il retira la clé de la voiture et la lui lança. Son visage poupin affichait un sourire misérable et moqueur. « Heh, c’est pour toi. »

Yin Wenzhi attrapa la clé et son cœur battit plus vite. Elle le regarda de ses yeux en amande. « Jeune Maître Zhu, que veux-tu dire ? »

« Rien. » Zhu Yuanhao s’appuya sur le siège du conducteur et dit en souriant : « Ma voiture vaut huit millions de yuans. Vends-la d’occasion et tu gagneras encore quatre à cinq millions de yuans. Cinq millions de yuans, c’est assez pour acheter un petit appartement à Pékin. Aide-moi à la voler et à la détruire. Cette voiture t’appartiendra. Je suis sincère. »

Elle pouvait acheter une maison à Pékin à condition de vendre la voiture ?

Le cœur de Yin Wenzhi battit plus vite. Sous les battements violents du cœur, la foi ferme de son cœur devint fragile et vacilla.

Zhu Yuanhao avait l’habitude de voir des femmes comme elle. Elles affichaient une attitude noble, mais au fond, elles ne cherchaient qu’à prendre des raccourcis.

Elle ne se serait pas fait attraper par lui aussi rapidement si elle était vraiment aussi noble et arrogante qu’elle en avait l’air.

C’est pourquoi il n’était pas pressé. Il attendit qu’elle réfléchisse lentement et poursuivit en souriant : « Réfléchis bien. C’est une très bonne affaire. Beaucoup de gens travaillent dur toute leur vie mais n’ont pas les moyens d’acheter une maison à Pékin. Tu pourras avoir ta propre maison avant même d’être diplômée de l’université. Qu’en penses-tu ? C’est une très bonne affaire, n’est-ce pas ? Cette voiture sera à toi si tu m’aides à voler ce dont Qiao Nian a besoin pour participer à la compétition. Tu pourras acheter une maison à Pékin. »

Le regard de Yin Wenzhi vacilla, mais elle n’était pas complètement dépassée. Elle sut tout de même demander : « Pourquoi tu t’en prends à Qiao Nian ? Tu ne la connais même pas. »

« Qui lui a demandé de provoquer Mlle Jiang ? » Zhu Yuanhao dit avec dédain.

Il n’avait jamais pris au sérieux les femmes qu’il fréquentait. La plupart d’entre elles n’étaient là que pour s’amuser.

Cependant, quelqu’un avait toujours été comme une fleur dans son cœur. Elle était sa déesse.

Zhu Yuanhao se ravisa et regarda la femme hésitante devant lui. Il la guida patiemment. « Ta relation avec Qiao Nian est moyenne, de toute façon. Vous n’êtes même pas de bons amis. »

« Tsk, je n’hésiterais pas à ta place. »

« Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on peut gagner une maison. Il n’y aura pas d’autre occasion comme celle-ci si tu refuses. Il faut bien réfléchir. »

Yin Wenzhi resserra progressivement sa prise sur la clé de la voiture. Ses yeux clignotèrent, et son beau visage se déforma.

Avait-elle besoin de renoncer à une telle opportunité pour Qiao Nian ?

Dans le bureau de Du Mingwei, à la faculté d’informatique.

Plusieurs professeurs d’informatique s’étaient rassemblés autour d’elle, chacun attendant nerveusement que la jeune fille utilise l’ordinateur qui se trouve sur leur bureau.

La position assise de la jeune fille était décontractée. Elle s’assit sans gêne, les yeux rivés sur l’écran de l’ordinateur. Ses yeux ne bougeaient pas tandis qu’elle tapait doucement sur le clavier.

Tap, tap, tap.

Le seul bruit dans l’immense bureau était celui de la frappe de Qiao Nian.

Aucun professeur ne la dérangeait, pas même Du Mingwei.

Finalement, les mains de la jeune fille quittèrent le clavier et elle leva les yeux, révélant un visage attirant sous sa casquette de baseball. Ses yeux étaient détendus. « C’est fait. »

« Tu as fini si vite ? » Du Mingwei posa immédiatement le thé de santé qu’il tenait sur la table et marcha rapidement vers elle.

« Oui. » Qiao Nian prit la clé USB de l’ordinateur et la lui tendit en disant nonchalamment : « Je l’ai étudié à la maison et j’ai fait un prototype. »



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