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Les identités secrètes de Madame ont encore une fois secoué toute la ville / Madam’s Identities Shock the Entire City Again / 夫人她马甲又轰动全城了
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Chapitre 969 : Accompagner une aînée
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Auteur : Brother Ling

Traductrice : Moonkissed

Cependant, la dame ne lui fit pas la moindre grimace. Elle sourit à nouveau et admira son expression laide, puis dit doucement : « Oh, vu l’attitude de l’assistant de la présidente Yuan, j’ai bien peur que tu n’ais pas de “prochaine fois”. »

« Avoir un cerveau est une bonne chose. Il vaut mieux prendre son cerveau avec soi lorsqu’on se mêle aux cercles de Pékin. Sinon, ce ne sera pas bon si tu donnes accidentellement un coup de pied dans une plaque de fer et que ta jambe se brise ! »

Au départ, Tian Siqi s’était sentie embarrassée et n’avait pas pu conserver sa dignité. Maintenant qu’elle avait entendu ça, sa mentalité était passée de l’embarras à la peur.

Ses doigts tremblaient tandis qu’elle serrait les poings. Ses lèvres étaient pâles et elle les mordait. Elle fronça les sourcils, ne sachant pas ce qu’elle avait fait de mal.

Cette fille avait l’air si ordinaire !

Elle était également habillée de façon bon marché. Il n’y avait pas la moindre étiquette sur ses vêtements. Elle ressemblait à une lycéenne ordinaire d’une petite ville. Elle était tout au plus une étudiante de première année d’université. Elle ne comprenait vraiment pas comment elle avait pu accidentellement donner un coup de pied dans une plaque de fer !

« Mlle Qiao, pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu étais ici ? Si j’avais su, je serais allé te chercher. » Su Mo ne dit pas à Qiao Nian ce qu’il avait entendu par derrière.

Il pensait surtout que les gens comme Tian Siqi ne valaient pas la peine d’être mentionnés devant Qiao Nian.

Il n’était déjà pas mal que quelqu’un de la famille Yuan de Pékin lui ait donné, à elle, une maîtresse, un billet pour ce spectacle. Pourtant, elle continuait à calomnier Qiao Nian dans son dos. Quelle plaisanterie !

C’est aussi parce que la présidente Yuan n’était pas là qu’elle n’avait pas entendu Tian Siqi insinuer que Qiao Nian était une femme entretenue. Si elle l’avait entendu, elle aurait peut-être demandé aux gardes de la sécurité de la renvoyer sur le champ et aurait appelé la famille Yuan pour qu’elle vienne la chercher…

Les yeux de Su Mo se rétrécirent. Il avait l’air doux, mais il y avait une lueur dans ses yeux.

Bien sûr, il ne manquerait pas d’en faire part à la présidente Yuan plus tard. Il ne savait pas si la famille Yuan serait en colère au point de faire une thrombose cérébrale après un conflit autour de Tian Siqi. Ils pourraient régler leurs comptes avec Tian Siqi et ceux qui l’avaient soutenue !

Cependant, il ne se souciait pas de cela.

Su Mo fixa la fille devant lui et ressentit de la pitié pour elle. Il dit doucement, « La présidente Yuan ne sait pas encore que tu es ici. Veux-tu que je le lui dise ? »

Il y a trois jours, ils avaient envoyé un message à Qiao Nian à propos du grand spectacle. Yuan Yongqin l’avait même appelée, mais Qiao Nian avait refusé. Elle ne voulait pas venir.

Qiao Nian se frotta les tempes. Elle ne s’attendait pas à tomber sur Su Mo avant le début du spectacle. Elle leva la main et se frotta les sourcils, puis dit avec impatience : « J’ai accompagné une aînée ici pour regarder le spectacle. Je n’ai pas eu le temps de vous prévenir, toi et Tante Yuan, car la décision a été prise sur le champ. »

« Une aînée ? »

« Elle est sortie pour téléphoner. »

« …Je vois. » Su Mo était assez surpris qu’une aînée ait l’honneur de se faire accompagner par ce gros bonnet pour regarder le spectacle. Cependant, il ne s’attarda pas sur cette question. Voyant la jeune fille s’asseoir hardiment, il hésita un moment et tenta de dire : « Mlle Qiao… que… »

Qiao Nian le regarda de ses beaux yeux noirs. « Mm ? »

Su Mo était habituellement décisif et capable dans son travail, mais lorsqu’il rencontrait cette personne, il devait toujours réfléchir à trois fois avant d’oser dire quoi que ce soit.

Il plissa les yeux et réfléchit avant de suggérer : « Mlle Qiao, puisque tu es ici, veux-tu monter sur scène pour une formalité ? »

Personne à Pékin ne savait que la styliste vedette de la Corporation Cheng Feng, S, était une jeune fille de 18 ans qui venait d’arriver à Pékin cette année. Elle vivait auparavant à la ville de Rao.

Si Qiao Nian était prête à monter sur scène et à montrer son visage, il y aurait moins de gens comme Tian Siqi à Pékin à l’avenir.



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